En 1879, acquisition par Claude Coignet fabricant de rubans à St Etienne.
En 1880, il y fait des réparations importantes avec le concours de M. Turbet architecte à Lyon. Il reconstruit la tour avant qu’elle ne tombe. L’ensemble des constructions est modifié et badigeonné. Le toit est recouvert d’ardoises, mais il conserve le lanternon.
Il conserve le puits avec ses 2 cariatides, de belles cheminées et un buste en marbre de la Bâtie d’ Urfé.
Il fit construire la serre. Il a remplacé l’escalier qui déroulait autrefois ses spirales dans la tour de la galerie par un bel escalier qui se développe sous les trois arceaux d’un grand vestibule. Il mit la cheminée de la salle à manger d’une hauteur de 2m50 ‘cheminée gothique monumentale provenant d’un manoir de Monistrol et au centre du manteau figurent les armoiries de son ancien propriétaire’.
Les salles du rez de chaussée ont conservé leurs grandes proportions d’autrefois ; les plafonds peints en grands compartiments carrés de diverses couleurs ont la même sobriété de bon goût et sont bien du XVIème et XVIIème siècles.
En 1880, il est noté :
le toit est couvert de tuiles creuses.
la tour du soir parfaitement conservée est entourée d’une riche galerie en pierres de taille à fuseaux.
Par temps clair, on distingue 27 clochers.
En 1888, M. Turbet rétabli ce qui avait existé autrefois : un toit aigu couvert en ardoises et percé de 3 mansardes carrées couvertes d’un pignon triangulaire celle du milieu placée au-dessus de 2 fenêtres presque jumelles est accompagnée de 2 arceaux en arc boutant de très bon goût.